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Résumé annuel 2024

Le marché publicitaire suisse

La pression publicitaire totale des groupes de médias classiques et numériques s’élève à 6,12 milliards de francs suisses en 2024, soit 1% de plus que l’année précédente.

Le marché publicitaire suisse classique est toutefois légèrement en baisse par rapport à l’année précédente (-0,9%) et termine l’année 2024 avec une pression publicitaire brute de 3,96 milliards de francs. Après un premier trimestre fort (+2,7%), le marché publicitaire suisse a perdu de son dynamisme: alors que le deuxième trimestre avait encore enregistré une croissance minimale de 0,1% par rapport à l’année précédente, le troisième trimestre est tombé pour la première fois dans le rouge (-0,9%), malgré le championnat d’Europe de football en Allemagne et les Jeux olympiques d’été à Paris). Le quatrième trimestre a renforcé cette tendance à la baisse avec un recul de 4,1%.

Des livraisons supplémentaires sont encore attendues pour le quatrième trimestre dans les domaines de l’Out-of-Home et du Cinéma, mais elles n’affecteront la tendance générale que de manière marginale et n’inverseront pas la tendance négative. Cependant, les deux groupes de médias sont les seuls à avoir progressé en 2024 par rapport à 2023. La publicité Out-of-Home est supérieure de 4,9% à l’année précédente, la publicité au cinéma de 4,4%.

La tendance du marché publicitaire numérique reste à la hausse par rapport au marché publicitaire classique – il clôture avec une augmentation de 4,6% à 2,1 milliards de CHF. Avec une part de 66% (1403 MCHF) le secteur Search domine clairement, suivi par la publicité Display avec une part de 25,7% (547 MCHF), tandis que YouTube représente le plus petit segment avec 8,2% (175,1 MCHF).

En examinant le mix de médias des groupes de médias classiques en 2024, on constate également que l’Out-of-Home est clairement gagnant. Le groupe de médias a de nouveau pu augmenter sa part de 1,3 point, principalement au détriment de la publicité imprimée, qui a perdu 1,4 point. Le secteur Télévision a montré une augmentation minimale de 0,1 point, tandis que les autres groupes de médias sont restés stables.

Si le volume publicitaire TV a nettement augmenté de 11% au premier semestre par rapport à l’année précédente et a enregistré une hausse de 6% au second semestre, la pression publicitaire TV se montre nettement plus faible: au premier semestre, elle n’a augmenté que de 3%, et au second semestre, elle a même baissé de 4%.

Le rapport entre Display, Search et YouTube reste globalement stable. En pourcentage, YouTube a connu la plus forte progression avec +9%, suivi par Search avec +5,5% et Display avec une hausse modérée de 1%.

Les détaillants et les marques de grande consommation dominent le top 20

Les 3 meilleurs Advertisers (annonceurs) en Suisse restent inchangés et semblent presque gravés dans le marbre. Coop et Migros conservent leur position de leader avec un SoA de 25,3% et 14,7% respectivement, bien qu’elles enregistrent toutes deux de légers reculs de 5% et 7%. En revanche, Procter & Gamble progresse nettement (+50%) et réduit l’écart avec les deux leaders du marché, tout en restant stable à la troisième place.

Dans le reste du classement du top 20, des évolutions intéressantes ont eu lieu. Henkel affiche la plus forte croissance en pourcentage avec une hausse impressionnante de 79% et consolide ainsi sa 4e place. McDonald’s a également progressé de 52% et se hisse à la 5 e place, tandis que Meubles Pfister a gagné le plus de places avec une croissance record de 39% et se hisse à la 18 e place. En revanche, Ferrero a subi un net recul de 31%, passant ainsi de la 4e à la 8e place. L’Oréal a également enregistré de fortes pertes avec -30% et a glissé de la 5e à la 10e place.

Dans l’ensemble, les détaillants et les marques de grande consommation continuent de dominer le classement et soulignent leur grande importance sur le marché publicitaire suisse. Les décalages importants par rapport à l’année précédente au sein du top 20 montrent à quel point le marché est dynamique. Une observation continue des tendances du marché et des concurrents reste décisive pour identifier à temps les opportunités et y réagir stratégiquement.

Si l’on en croit les publicitaires, les produits suivants ne devraient manquer dans aucun ménage suisse en 2024: Les couches Pampers et Vicks Vaporub arrivent en tête, suivis de l’application mobile McDonald’s Switzerland et des chocolats Lindt Lindor, toujours très appréciés. Selon le marché publicitaire, les pâtes Barilla Al Bronzo et les machines à café automatiques Delonghi font également partie de la cuisine suisse. Les beaux souvenirs doivent ensuite être capturés avec l’iPhone 16 Pro d’Apple et immortalisés dans le livre photo CEWE.
L’iPhone 16 Pro d’Apple a également été le nouveau produit le plus sollicité en 2024. Viennent ensuite le Nivea Luminous630 3 in 1 CC Fluid et Mayo Thomy saveur truffe – pour que la population suisse puisse briller et se faire plaisir. Super Mario Party Jamboree et le Rituals The Ritual of Sakura Set garantissent amusement et détente, tandis que le diffuseur de parfum Febreze a pour fonction de redonner à la maison un parfum ambiant appréciable après une agréable soirée raclette avec le fromage Raccard IP Suisse.

Les détaillants restent également en tête sur le marché de la publicité numérique, Migros et Coop en tête, qui donnent une nouvelle fois le ton en matière de publicités Display. Lidl et Aldi complètent la domination du commerce de détail, de sorte que pas moins de quatre détaillants figurent dans le top 10. Des marques suisses bien établies comme UBS, Swisscom et la Poste s’assurent également des places de choix. Avec Temu (Whaleco UK Limited), un nouvel acteur international fait son apparition dans le classement.

Dans le domaine YouTube, les entreprises de divertissement continuent de dominer, avec TikTok en tête, suivi par Nestlé et Warner Bros. Temu se hisse étonnamment à la 4e place, devant Beiersdorf. Coop est également représentée et fait partie du top 10 avec Lidl et Henkel. L’Oréal et The Walt Disney Company complètent le classement.

Search en tant que média «pull» plutôt que «push» continue de refléter les intérêts multiples des Suisses. Les plateformes de voyage comme booking.com, ab-in-den-urlaub.ch et migros-ferien.ch dominent les premières places et soulignent la grande pertinence des offres de voyage. En 3e position, sunrise.ch, un opérateur de télécommunications, figure également parmi les leaders, tandis que les assureurs Axa.ch et Zurich.ch consolident leurs positions dans le classement. Comparis.ch, le leader des comparateurs de prix, confirme la demande croissante de transparence et de prise de conscience des coûts. La concurrence dans l’e-commerce est également mise en évidence: le commerçant suisse Brack.ch se maintient à la 6e place, suivi de près par les géants mondiaux temu.com et amazon.de aux 9e et 10e places. Ces deux derniers s’imposent de plus en plus sur le marché suisse et se disputent les faveurs de la clientèle – un signe clair de la guerre des prix dans ce segment.

Le secteur automobile reste sous pression en 2024

En 2024, le secteur automobile enregistre un recul de 9,9% sur le marché publicitaire classique et perd ainsi deux places pour se retrouver en 7e position. De nombreuses marques de véhicules suppriment des postes, notamment dans le domaine des Médias imprimés (-21,4%) et de l’Out-of-Home (-18,3%).

En revanche, les Loisirs, gastronomie et tourisme affichent une nette reprise et gagnent une place avec une croissance de 18,9%, ce qui les place désormais en 6e position. Le secteur Énergie connaît également une croissance particulièrement forte, avec une augmentation impressionnante de 36,3%, soit le deuxième taux de croissance le plus élevé, tout en restant à la 20e place. Parmi les gagnants figure également le secteur Nettoyage, qui affiche une croissance de 46,3% et gagne deux rangs pour se hisser à la 16e place.

De l’autre côté, on trouve Numérique et ménage. Avec un recul de 13,5%, ce secteur enregistre la plus forte baisse et perd une place au 14e rang. Le secteur Services, avec -10,1%, perd une place et se retrouve en 12e position. Les secteurs Médias, Énergie et Produits tabagiques restent en queue de peloton.

Différences entre le marché publicitaire classique et numérique

Si l’on jette un coup d’œil sur la présence en ligne des secteurs, on constate de nets décalages. Le secteur Télécommunications, traditionnellement à la 15e place, se positionne nettement plus fortement sur le plan numérique: 6e place pour Display, 9e place pour YouTube et même 5e place pour Search. Il en va de même pour les Cosmétiques et soins corporels, qui se situent habituellement à la 8e place, mais qui brillent à la 2e place auprès de YouTube.

La première place pour YouTube Ads revient aux Produits alimentaires, secteur leader sur le marché publicitaire classique. Toutefois, cela ne s’applique pas aux canaux Display et Search. Il n’y occupe respectivement que la 6e et la 15e place. Le secteur Commerce de détail, qui occupe traditionnellement la 2e place, joue également un rôle important dans le domaine numérique. L’accent est mis sur la publicité Display (1er rang).

Le secteur Finances, habituellement en 4e position, conserve un excellent positionnement numérique: 2e pour Display et Search et 3e pour YouTube. Il confirme ainsi son rôle de pionnier sur le marché publicitaire numérique.

Conclusion et perspectives

L’année 2024 se termine légèrement en hausse (+1,0%) et atteint un volume de marché de 6,12 milliards de francs.

Dans les médias classiques (ensemble), malgré la Coupe du monde de football et les Jeux olympiques, la croissance n’est pas au rendez-vous (-0,9%). Seule exception: l’Out-of-Home (+4,9%) et le Cinéma (+4,4%) présentent une hausse modérée. Les médias numériques, en particulier Display, Search et YouTube, progressent à nouveau et enregistrent une hausse de 4,6% par rapport à 2023. Google Search (+5,5%) et YouTube (+9,0%) connaissent une croissance particulièrement forte.

L’écart croissant entre la publicité classique et la publicité numérique le montre: les stratégies publicitaires doivent être plus flexibles que jamais et s’adapter aux nouvelles réalités. Parallèlement, les plateformes publicitaires numériques ouvrent la porte du marché suisse à des fournisseurs d’e-commerce étrangers comme Temu et Amazon, ce qui renforce encore la concurrence.

Le bilan plus faible du quatrième trimestre laisse en outre place aux spéculations: les budgets ont-ils été reportés à 2025 dans l’attente d’incertitudes mondiales comme les élections américaines ou les évolutions économiques? Les mois à venir montreront comment les marques répondent à ces défis.

Les interventions réglementaires, comme l’interdiction instaurée de la publicité pour le tabac ou les discussions sur la publicité Out-of-Home, continuent également d’influencer le marché en 2025. Les entreprises sont appelées à trouver des moyens créatifs pour faire passer leurs messages dans un environnement plus strict. Parallèlement, le marché de la publicité numérique poursuit son développement grâce à des innovations et des technologies telles que l’IA, ce qui crée de nouveaux potentiels et entraîne un nouveau déplacement du budget publicitaire.

La précision reste le maître-mot de Media Focus en 2025: les chiffres d’affaires publicitaires bruts doivent être représentés le plus précisément possible, en particulier dans les médias numériques. En 2024, des optimisations décisives ont été réalisées à cet effet, notamment pour Search et YouTube.

En 2025, Media Focus va encore plus loin: pour la première fois, les activités publicitaires sur les réseaux sociaux tels que Facebook, TikTok, Instagram, Pinterest et LinkedIn peuvent être affichées et comparées de manière transparente. Ces nouvelles perspectives permettent une gestion des campagnes axée sur les données et offrent aux annonceurs une vision encore plus claire du marché numérique.

Une fois de plus, 2025 sera une année riche en défis et opportunités!

contact: mediafocus@mediafocus.ch, Tel.: +41 43 322 27 50

Jahresrésumé 2022

Décembre nettement en deçà de l’année précédente

Points forts de décembre 2024

Le marché publicitaire «classique» termine l’année avec une pression publicitaire brute de 355 millions de francs en décembre, soit une diminution de 5,8% par rapport à l’année précédente. Par rapport au mois précédent, on constate également une baisse notable de 14%.

Au total, la pression publicitaire brute cumulée (YTD) atteint 3995,3 millions de francs, et se situe juste en dessous du niveau de l’année précédente, avec une baisse de 0,9%.

Parmi les groupes de médias traditionnels, aucun groupe n’a enregistré une croissance par rapport à l’année précédente. Le Cinéma a connu le plus fort recul (-10,3%)*, suivi de la Télévision (-6,7%) et des Médias imprimés (-5,5%). On observe également des évolutions à la baisse pour le groupe de médias Radio (-5,2%) ainsi que pour l’Out-of-Home* (-4,4%).

* Des livraisons supplémentaires sont encore attendues pour le quatrième trimestre dans les domaines de l’Out-of-Home et du Cinéma, mais elles n’affecteront la tendance générale que de manière marginale.

Dans le domaine des médias numériques, le tableau est mitigé. Alors que YouTube progresse par rapport à l’année dernière, Search et Display enregistrent une baisse.

Pour une analyse plus détaillée du marché global, nous vous recommandons de lire notre Résumé annuel 2024.

Pression publicitaire sur le marché global

Évolution de la pression publicitaire au mois de décembre 2024 en millions de francs bruts.

Classement sectoriel

Classement sectoriel en décembre.

Les meilleurs annonceurs et produits

Les meilleurs annonceurs et les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en décembre.

Mix de médias

Mix de médias pour le mois de décembre.


Pression publicitaire sur le marché numérique

Évolution de la pression publicitaire au mois de décembre 2024 en millions de francs bruts.

Classement sectoriel

Classement sectoriel en décembre.

Les meilleurs produits numériques

Les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en décembre.

Mix de médias

Mix de médias pour le mois de décembre.

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Pression publicitaire au plus haut à Noël, mais inférieure à l’année précédente

Points forts de novembre 2024

Le marché publicitaire «classique» termine le mois de novembre avec une pression publicitaire brute de 412,8 millions de francs, soit une diminution de 4,0% par rapport à l’année précédente. Cependant, on constate une légère augmentation de 1,0% par rapport au mois précédent.

Le pic de Noël ne peut par conséquent pas stopper la tendance négative qui a débuté en août 2024. Au total, la pression publicitaire brute cumulée (YTD) atteint 3639,1 millions de francs, et se situe désormais juste en dessous du niveau de l’année précédente, avec une baisse de 0,4%.

Parmi les groupes de médias classiques, seul Out-of-Home (depuis la clôture semestrielle, y compris Livesystems pour 2023 et 2024) a pu se maintenir dans les chiffres noirs par rapport à l’année précédente, avec une croissance de 2%. Tous les autres groupes de médias enregistrent une baisse. C’est pour le secteur Radio que ce recul est le plus marqué, avec une baisse de 14%. Les deux groupes de médias Télévision et Médias imprimés affichent chacun un recul de 5%, suivis par le Cinéma avec une baisse de 2%.

Dans le domaine des médias numériques, l’évolution est mitigée. Par rapport à l’année précédente, on constate un recul dans le domaine Display, tandis que YouTube et Search affichent une augmentation.

À partir de 2024, nous présenterons séparément le marché publicitaire «classique» et les canaux numériques (Search, YouTube, Display) afin de garantir une meilleure comparabilité avec l’année précédente. La volatilité de la saisie dans le domaine en ligne, due à des influences externes telles que des adaptations de la part de Google, peut entraîner des fluctuations importantes au cours de l’année. Dans le domaine Search en particulier, de nombreuses adaptations et modifications ont été apportées par Google au cours du dernier semestre, ce qui rend difficile la comparaison des dépenses publicitaires brutes avec l’année précédente.

Pression publicitaire sur le marché global

Évolution de la pression publicitaire au mois de novembre 2024 en millions de francs bruts.

Moins de la moitié des secteurs affichent une croissance

Le secteur Produits alimentaires se trouve en première position dans le classement AAJ, mais en deuxième position dans le classement de novembre, dépassé par le Commerce de détail. Le secteur Nettoyage (+33,3%) se trouve certes dans le tiers inférieur du tableau, mais c’est celui qui connaît la plus forte augmentation en pourcentage par rapport à l’année précédente, suivi de près par le secteur Initiatives et campagnes avec une augmentation de 29,2%. Outre les secteurs déjà mentionnés, les secteurs Loisirs, gastronomie et tourisme, Mode et le sport, Médias et Énergie enregistrent une évolution positive par rapport à l’année précédente.

Une baisse dans 13 secteurs

En novembre, 13 secteurs ont enregistré un recul par rapport à l’année précédente. Cette baisse est particulièrement marquée dans le secteur Produits tabagiques après l’entrée en vigueur de restrictions plus sévères de la publicité pour le tabac en octobre de cette année. Les secteurs Besoins personnels (-35,4%) et Boissons (-21,3%) ont enregistré une nette diminution. Par ailleurs, d’autres secteurs enregistrent des évolutions à la baisse, mais dans une moindre mesure. En font partie les secteurs Numérique et ménages (-17,9%) et Pharmacie et santé (-17,7%).

Classement sectoriel

Classement sectoriel en novembre.

Les meilleurs annonceurs et produits

Les meilleurs annonceurs et les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en novembre.

Mix de médias

Mix de médias pour le mois de novembre.


Pression publicitaire sur le marché numérique

Évolution de la pression publicitaire au mois de novembre 2024 en millions de francs bruts.

Classement sectoriel : comparaison entre les canaux classiques et les canaux numériques

Sur le marché numérique, c’est le secteur Finances qui occupe la première place, au classement AAJ comme à celui de novembre. À ses côtés, et comme au cours du mois précédent, le podium est complété par les secteurs Commerce de détail et Loisirs, gastronomie et tourisme, que ce soit pour le classement AAJ ou celui du mois de novembre. Dans le marché «classique», les secteurs Produits alimentaires, Commerce de détail et Initiatives et campagnes occupent les premières places ce mois-ci. Le secteur Commerce de détail occupe donc la deuxième position dans les deux canaux. Sur le marché numérique, les secteurs Produits alimentaires et Initiatives et campagnes se situent seulement en milieu de classement (10e et 13e rangs respectivement).

Dans les deux classements, les secteurs Énergie, Produits tabagiques, Médias et Nettoyage se positionnent en bas de tableau. Sur le marché numérique, le secteur Énergie est antépénultième, les Produits tabagiques avant-derniers et le Nettoyage dernier. Sur le marché «classique», les Produits tabagiques sont en dernière position, précédés de l’Énergie en avant-dernière place, avec les Médias se situant juste devant dans le classement. Comme sur le marché numérique, ce sont les mêmes secteurs que ceux des deux derniers mois qui ferment la marche.

Classement sectoriel

Classement sectoriel en novembre.

Les meilleurs produits numériques

Les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en novembre.

Dans le domaine Display, alao.ch occupe la première place, tandis que sur YouTube, c’est le phénomène chinois de discount TEMU.com qui est en tête, et pour Search, c’est booking.com qui domine. Aucun produit ni service n’est parvenu à se positionner dans le top 10 sur plusieurs canaux.

Mix de médias

Mix de médias pour le mois de novembre.

Contact: mediafocus@mediafocus.ch, Tel.: +41 43 322 27 50

Points forts d’octobre 2024

Le marché publicitaire «classique» termine le mois d’octobre avec une pression publicitaire brute de 408,4 millions de francs, soit une diminution de 3,0% par rapport à l’année précédente. Cependant, on constate une légère augmentation de 5,4% par rapport au mois de septembre.

Au total, la pression publicitaire brute cumulée (AAJ) atteint 3226,4 millions de francs, représentant une très légère hausse de 0,1% par rapport à l’année précédente.

Parmi les groupes de médias traditionnels, seul le cinéma (+21%) a enregistré une croissance par rapport à l’année précédente. Au sein du groupe de médias Out-of-Home (depuis la clôture des résultats du semestre, incluant à nouveau les Livesystems pour 2023 et 2024), on constate une stagnation par rapport à l’année précédente. Les groupes de médias Radio, Télévision et Médias imprimés présentent tous des résultats en recul. C’est pour la Radio que la baisse est la plus nette avec -7%, suivie par les Médias imprimés (-5%) et la Télévision (-4%).

Du côté des médias numériques, une tendance neutre à positive se dessine. Tandis que Display se situe au même niveau que l’année dernière, YouTube et Search ont progressé.

À partir de 2024, nous présenterons séparément le marché publicitaire «classique» et les canaux numériques (Search, YouTube, Display) afin de garantir une meilleure comparabilité avec l’année précédente. La volatilité de la saisie dans le domaine en ligne, due à des influences externes telles que des adaptations de la part de Google, peut entraîner des fluctuations importantes au cours de l’année. Dans le domaine Search en particulier, de nombreuses adaptations et modifications ont été apportées par Google au cours du dernier semestre, ce qui rend difficile la comparaison des dépenses publicitaires brutes avec l’année précédente.

Pression publicitaire sur le marché global

Évolution de la pression publicitaire au mois d’octobre 2024 en millions de francs bruts.

Un peu plus de la moitié des secteurs affichent une croissance

Le secteur Produits alimentaires reste en tête du classement AAJ, comme de celui d’octobre avec une augmentation de 5%. Avec 40,4%, c’est le secteur Télécommunications qui a enregistré la plus forte hausse. Par ailleurs, les indicateurs sont au vert pour les secteurs Loisirs, gastronomie et tourisme, Nettoyage et Finances. Ce dernier, 4e au classement AAJ, se hisse même en 2e place du classement d’octobre.

Une baisse dans 10 secteurs

En octobre, dix secteurs ont enregistré une diminution par rapport à l’année précédente. C’est dans les secteurs Produits tabagiques (-43,2%), Véhicules (-39,6%) et Boissons (-23,0%) que cette baisse est la plus marquée. L’évolution en comparaison annuelle est également négative pour d’autres secteurs, comme les Transports en commun avec -19,6% ou les Besoins personnels avec -7,5%. Le secteur Commerce de détail perd près de 10% (-9,7%), et recule à la troisième place, derrière le secteur Finances.

Classement sectoriel

Classement sectoriel en octobre.

Les meilleurs annonceurs et produits

Les meilleurs annonceurs et les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en octobre.

Mix de médias

Mix de médias pour le mois d’octobre.


Pression publicitaire sur le marché numérique

Évolution de la pression publicitaire au mois d’octobre 2024 en millions de francs bruts.

Classement sectoriel : comparaison entre les canaux classiques et les canaux numériques

Sur le marché numérique, c’est le secteur Finances qui occupe la première place, au classement AAJ comme à celui d’octobre. À ses côtés, le podium est complété par les secteurs Commerce de détail et Loisirs, gastronomie et tourisme, que ce soit pour le classement AAJ ou celui d’octobre. Sur le marché «classique», les secteurs Produits alimentaires, Finances et Commerce de détail forment le top 3. Sur le marché numérique, le secteur Produits alimentaires ne se classe qu’en milieu de tableau, à la 10e place. En revanche, le secteur Loisirs, gastronomie et tourisme parvient également à se maintenir dans le premier tiers sur le marché «classique».

Dans les deux classements, les secteurs Énergie, Produits tabagiques, Médias et Nettoyage se positionnent en bas de tableau. Sur le marché numérique, le secteur Énergie est antépénultième, les Produits tabagiques avant-derniers et le Nettoyage dernier. Sur le marché «classique», les Produits tabagiques sont en dernière position, précédés de l’Énergie en avant-dernière place, avec les Médias se situant juste devant dans le classement. Comme sur le marché numérique et comme le mois précédent, ce sont les mêmes secteurs qui ferment la marche.

Classement sectoriel

Classement sectoriel en octobre.

Les meilleurs produits numériques

Les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en octobre.

Dans le domaine Display, Active Fitness occupe la première place, tandis que sur YouTube, c’est Le Gruyère Hart- & Schnittkäse qui est en tête, et pour Search, c’est ab-in-den-urlaub.ch qui domine. Aucun produit ni service n’est parvenu à se positionner dans le top 10 sur plusieurs canaux.

Mix de médias

Mix de médias pour le mois d’octobre.

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Valeur maximale atteinte cette année en septembre

Points forts de septembre 2024

Le marché publicitaire «classique» termine le mois de septembre avec une pression publicitaire brute de 387,5 millions de francs, soit une diminution de 3,1% par rapport à l’année précédente. Cependant, on constate une augmentation nette de 53,1% par rapport au mois de juillet, marquant officiellement la fin du creux estival.

Au total, la pression publicitaire brute cumulée (AAJ) atteint 2811,6 millions de francs, représentant une très légère augmentation de 0,4% par rapport à l’année précédente.

Parmi les groupes de médias classiques, seuls le Cinéma et l’Out-of-Home (depuis la clôture des résultats du semestre, incluant à nouveau les Livesystems pour 2023 et 2024) ont enregistré une croissance. Celle-ci est particulièrement nette pour le Cinéma, avec une augmentation de 64%, contre 9% pour l’Out-of-Home. Au contraire, les secteurs Radio, Télévision et Médias imprimés enregistrent un recul. C’est pour la Radio que la chute a été la moins sévère, avec -3%, comparé à -6% pour la Télévision et -10% pour les Médias imprimés.

Du côté des médias numériques, une tendance globalement positive se dessine. Si l’augmentation a été légère pour les secteurs Display et YouTube avec 3% chacun, le secteur Search a bondi de 26%.

À partir de 2024, nous présenterons séparément le marché publicitaire «classique» et les canaux numériques (Search, YouTube, Display) afin de garantir une meilleure comparabilité avec l’année précédente. La volatilité de la saisie dans le domaine en ligne, due à des influences externes telles que des adaptations de la part de Google, peut entraîner des fluctuations importantes au cours de l’année. Dans le domaine Search en particulier, de nombreuses adaptations et modifications ont été apportées par Google au cours du dernier semestre, ce qui rend difficile la comparaison des dépenses publicitaires brutes avec l’année précédente.

Pression publicitaire sur le marché global

Évolution de la pression publicitaire au mois de septembre 2024 en millions de francs bruts.

Seuls 7 secteurs affichent une croissance

Le secteur des Produits alimentaires conserve sa position dominante dans le classement AAJ et occupe également la première place pour le mois de septembre, même si les six autres secteurs ont connu une progression plus forte par rapport à l’année précédente. Avec 92,3%, c’est le secteur Énergie qui a enregistré la plus forte croissance. Les autres secteurs ayant également progressé sont Télécommunications, Nettoyage, Transports en commun et Besoins personnels.

Une baisse dans 14 secteurs

Quelque 14 secteurs enregistrent une baisse en septembre par rapport à l’année précédente. Les reculs les plus marqués concernent les Produits tabagiques (-75,1%) et les Boissons (-23,2%). Toutefois, d’autres secteurs ont également atteint des résultats inférieurs à ceux de l’année précédente, comme les Médias avec une baisse de 16,5%, le secteur Finance avec -16,1% et le secteur Numérique et ménage avec -13,0%.

Classement sectoriel

Classement sectoriel en septembre.

Les meilleurs annonceurs et produits

Les meilleurs annonceurs et les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en septembre.

Mix de médias

Mix de médias pour le mois de septembre.


Pression publicitaire sur le marché numérique

Évolution de la pression publicitaire au mois de septembre 2024 en millions de francs bruts.

Classement sectoriel : comparaison entre les canaux classiques et les canaux numériques

Sur le marché numérique, le secteur Commerce de détail occupait la première place depuis le début de l’année (AAJ), mais chute à la troisième position en septembre.Outre le Commerce de détail, le podium est complété par les secteurs Finance et Loisirs, gastronomie et tourisme. Sur le marché «classique», les secteurs Produits alimentaires, Commerce de détail et Initiatives et campagnes restent en tête, comme le mois précédent. Toutefois, sur le marché numérique, les Produits alimentaires et les Initiatives et campagnes se situent seulement en milieu de classement (11e et 13e rangs respectivement).

Dans les deux classements, les secteurs Énergie, Produits tabagiques, Médias et Nettoyage se positionnent en bas de tableau. Sur le marché numérique, le secteur Énergie occupe l’avant-dernière place, juste devant les Produits tabagiques, tandis que le secteur Nettoyage ferme la marche. Rien n’a donc changé dans le classement par rapport au mois précédent. Les Produits tabagiques sont en dernière position sur le marché «classique», précédés de l’Énergie en avant-dernière place, avec les Médias se situant juste devant dans le classement. Comme sur le marché numérique et comme le mois précédent, ce sont les mêmes secteurs qui ferment la marche.

Classement sectoriel

Classement sectoriel en septembre.

Les meilleurs produits numériques

Les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en septembre.

Dans le domaine Display, ALDI Fleisch occupe la première place, tandis que sur YouTube, c’est Disney+ qui est en tête, et pour Search, c’est booking.com qui continue de dominer, comme le mois précédent. Aucun produit ni service n’est parvenu à se positionner dans le top 10 sur plusieurs canaux.

Mix de médias

Mix de médias pour le mois de septembre.

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Les temps forts du
mois de septembre 2023

En septembre, le marché publicitaire a enregistré un ralentissement modéré par rapport au mois publicitaire très fort de l’année précédente et a clôturé avec un chiffre d’affaires brut de 573,3 millions de francs bruts. Cela correspond à un recul de 13,4% par rapport à l’année précédente.  Un regard sur la comparaison YTD montre également un recul de 5,6%.

Par rapport au mois d’août précédent, on remarque toutefois une nette augmentation de 17,5%, après le recul habituel de l’été.

L’augmentation la plus nette concerne le secteur Produits tabagiques, qui a augmenté sa pression publicitaire de 40,1%. Parallèlement, la plus grande réduction a été observée dans le secteur Énergie, avec un recul de 65,6%.

Pression publicitaire sur le marché global

Évolution de la pression publicitaire au mois de septembre 2023 en millions de francs bruts

Le secteur Produits tabagiques présente la hausse la plus forte

En septembre, le secteur Produits tabagiques a enregistré une augmentation remarquablement forte de la pression publicitaire de 40,1% par rapport à l’année précédente, ce qui le place en tête de la liste des secteurs ayant connu la plus forte augmentation.

Le secteur Cosmétiques et soins corporels est également sorti du lot, avec une augmentation de 18,4% de la pression publicitaire.

En troisième position en termes d’augmentation, on trouve le secteur Nettoyage, qui a connu une hausse considérable de 7,8%.

Le secteur Énergie toujours en baisse

Les réductions les plus importantes sont observées dans le secteur Énergie, le secteur Besoins personnels et le secteur Services.

En août déjà, le secteur Énergie a enregistré une baisse drastique de 55,0% et en septembre, il accuse toujours un retard de 65,6% par rapport à 2022 YTD, soit déjà 30,4% de moins.

Le secteur Besoins personnels affiche également une baisse significative en septembre (-45,0%) et a généré une pression publicitaire nettement moins importante YTD (-28,3%).

La troisième plus forte réduction a été observée en septembre dans le secteur Services (-40,8%).

Les meilleurs annonceurs et produits

Les meilleurs annonceurs et les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en septembre

Mix de médias

Mix de médias pour le mois de septembre

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Résumé de l’année 2022 Tendance du marché d’août

Points forts d’août 2024

Le marché publicitaire «classique» termine le mois d’août avec une pression publicitaire brute de 249,3 millions de francs, soit une diminution de 8,3% par rapport à l’année précédente. Cependant, on constate une légère augmentation de 2,8% par rapport au mois de juillet, le mois d’août peinant à sortir du creux estival.

Au total, la pression publicitaire brute cumulée (YTD) atteint 2400,7 millions de francs, représentant un léger recul de 0,1% par rapport à l’année précédente.

Tous les groupes de médias classiques enregistrent une baisse par rapport à l’année précédente, avec le Cinéma en tête (-35%), suivi des Médias imprimés (-10%) et de la Télévision (-8%). Les baisses les plus modérées sont observées dans les formats publicitaires Out-of-Home et Radio. En août, l’Out-of-Home recule de 6% par rapport à l’année précédente (depuis la clôture résultats du semestre,incluant à nouveau les Livesystems pour 2023 et 2024), tandis que la Radio affiche une diminution de 3%.

Du côté des médias numériques, une tendance négative se dessine également. Display chute de 11% et Search de 10% par rapport à l’année précédente. Seul YouTube enregistre une croissance de 9% par rapport à la même période.

À partir de 2024, nous présenterons séparément le marché publicitaire «classique» et les canaux numériques (Search, YouTube, Display) afin de garantir une meilleure comparabilité avec l’année précédente. La volatilité de la saisie dans le domaine en ligne, due à des influences externes telles que des adaptations de la part de Google, peut entraîner des fluctuations importantes au cours de l’année. Dans le domaine Search en particulier, de nombreuses adaptations et modifications ont été apportées par Google au cours du dernier semestre, ce qui rend difficile la comparaison des dépenses publicitaires brutes avec l’année précédente.

Pression publicitaire sur le marché global

Évolution de la pression publicitaire au mois d’août 2024 en millions de francs bruts.

Seuls 3 secteurs affichent une croissance

Le secteur des Produits alimentaires conserve sa position dominante dans le classement AAJ. Cependant, en août, malgré une hausse de 10,1% par rapport à l’année précédente, il passe derrière le Commerce de détail et les Initiatives et campagnes. Ainsi, le secteur des Produits alimentaires fait partie des cinq secteurs ayant progressé en août par rapport à l’année précédente. Les autres secteurs en croissance sont les Cosmétiques et soins corporels, le Nettoyage, les Besoins personnels et l’Énergie.

Une baisse dans 16 secteurs

Quelque 16 secteurs enregistrent une baisse en août par rapport à l’année précédente. Les reculs les plus marqués concernent les Produits tabagiques (-52,8%), les Médias (-38,1%) et les Véhicules (-37,2%). D’autres secteurs suivent cette tendance, comme les Transports en commun (-28,5%), les Télécommunications (-23,8%) et les Services (-22,8%).

Classement sectoriel

Classement sectoriel en août.

Les meilleurs annonceurs et produits

Les meilleurs annonceurs et les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en août.

Mix de médias

Mix de médias pour le mois d’août.


Pression publicitaire sur le marché numérique

Évolution de la pression publicitaire au mois d’août 2024 en millions de francs bruts.

Classement sectoriel : comparaison entre les canaux classiques et les canaux numériques

Sur le marché numérique, le Commerce de détail occupait la première place depuis le début de l’année (AAJ), mais chute à la troisième position en août.Dans le marché «classique», les secteurs Produits alimentaires, Commerce de détail et Initiatives et campagnes forment le top 3. Toutefois, sur le marché numérique, les Produits alimentaires et les Initiatives et campagnes se retrouvent seulement aux 11e et 14e rangs respectivement. Les secteurs Finance et Loisirs, gastronomie et tourisme se classent deuxième et troisième dans le marché numérique, tandis que dans le marché «classique», ils se situent respectivement aux 6e et 5e places.

Les secteurs Cosmétiques et soins corporels, Pharmacie et santé, et Télécommunications se situent en milieu de classement pour les deux marchés.

Dans les deux marchés, les secteurs Énergie et Produits tabagiques se trouvent dans le bas du classement. Sur le marché numérique, le secteur Énergie occupe l’antépénultième place, juste devant les Produits tabagiques, tandis que le secteur Nettoyage ferme la marche. Les Produits tabagiques sont en dernière position sur le marché «classique», précédés de l’Énergie en avant-dernière place, avec les Médias se situant juste devant dans le classement.

Classement sectoriel

Classement sectoriel en août.

Les meilleurs produits numériques

Les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en août.

Dans le domaine Display, TEMU.com occupe la première place, tandis que sur YouTube, ce sont les CFF qui sont en tête, et pour Search, c’est booking.com qui domine. En plus de sa bonne position dans le domaine Display, la plateforme commerciale chinoise TEMU.com atteint la 7e place sur YouTube. brack.ch parvient également à s’imposer sur deux canaux, se hissant à la 7e place pour Display et 9e pour Search.

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Mix de médias pour le mois d’août.

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Résumé de l’année 2023 Tendance du marché de juillet 2024

Points forts de juillet 2024

Le marché publicitaire «classique» termine le mois de juillet avec 242,6 millions de francs, soit une augmentation de 5,6% par rapport à l’année précédente. Cependant, on constate une baisse notable de 23% par rapport au mois de juin, signe que le creux estival est bien présent.

Depuis le début de l’année, la pression publicitaire cumulée a connu une légère progression de 1% par rapport à l’année précédente, atteignant un total de 2151,4 millions de francs publicitaires bruts.

Parmi les groupes de médias «classiques», seuls les Médias imprimés (-2%) et le Cinéma (-66%) enregistrent un recul par rapport à l’année précédente, ce dernier étant particulièrement impacté par les succès exceptionnels des films Barbie et Oppenheimer cette année-là. Les autres groupes de médias sont en croissance, avec la Radio en tête (+21%), suivie de l’Out-of-Home (+12%) (depuis la clôture des résultats du semestre, incluant à nouveau les Livesystems pour 2023 et 2024) et de la Télévision (+7%).

Dans le domaine des médias numériques, tous les genres enregistrent une évolution positive. YouTube enregistre une hausse de 12% par rapport à l’année précédente, talonné par la publicité sur les moteurs de recherche avec 11%, tandis que Display n’enregistre que 5%.

À partir de 2024, nous présenterons séparément le marché publicitaire «classique» et les canaux numériques (Search, YouTube, Display) afin de garantir une meilleure comparabilité avec l’année précédente. La volatilité de la saisie dans le domaine en ligne, due à des influences externes telles que des adaptations de la part de Google, peut entraîner des fluctuations importantes au cours de l’année. Dans le domaine Search en particulier, de nombreuses adaptations et modifications ont été apportées par Google au cours du dernier semestre, ce qui rend difficile la comparaison des dépenses publicitaires brutes avec l’année précédente.

Pression publicitaire sur le marché global

Évolution de la pression publicitaire au mois de juillet 2024 en millions de francs bruts.

Le secteur des produits alimentaires enregistre une baisse de 10%

Malgré sa position dominante dans le classement AAJ, le secteur des produits alimentaires connait une diminution de 9,9% en juillet, ce qui le place juste derrière le commerce de détail, qui a, quant à lui, augmenté de 8,3%. Les Produits alimentaires se retrouvent ainsi parmi les huit secteurs qui ont réduit leur pression publicitaire en juillet par rapport à l’année précédente.

Parmi ces secteurs en recul, l’Énergie (-67,9%), les Produits tabagiques (-49,1%) et les Médias (-28,0%), où la pression publicitaire est déjà faible, enregistrent des baisses de pourcentage à deux chiffres. D’autres secteurs, comme Événementiel (-4,5%), Mode et sport (-3,1%) et Transports en commun (-2,5%), affichent des réductions plus limitées.

Une hausse dans 13 secteurs

En parallèle, 13 secteurs enregistrent une augmentation en juillet par rapport à l’année précédente. Les secteurs Cosmétique et soins corporels (+33,7%), Pharmacie et santé (+28,6%) et Loisirs, gastronomie, et tourisme (+25,8%) se démarquent particulièrement. D’autres secteurs, tels que Boissons avec 21,0%, Initiatives et campagnes avec 17,2% et Nettoyage avec 12,2% montrent également des progressions notables.

Classement sectoriel

Classement sectoriel en juillet.

Les meilleurs annonceurs et produits

Les meilleurs annonceurs et les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en juillet.

Mix de médias

Mix de médias pour le mois de juillet.


Pression publicitaire sur le marché numérique

Évolution de la pression publicitaire au mois de juillet 2024 en millions de francs bruts.

Classement sectoriel : comparaison entre les canaux classiques et les canaux numériques

Dans les deux marchés, le secteur Loisirs, gastronomie et tourisme se positionne en troisième place depuis le début de l’année. Sur le marché «classique», le secteur Produits alimentaires occupe la première place, suivie du Commerce de détail en deuxième position. Sur le marché numérique, c’est le Commerce de détail qui prend la tête du classement, avec la Finance en deuxième place, tandis que les Produits alimentaires descendent à la 11e place. Les secteurs Initiatives et campagnes et Construction, industrie et ameublement se classent respectivement quatrième et cinquième sur le marché «classique», mais sur le marché numérique, ces secteurs occupent les 13e et 6e places. Les secteurs Services et Mode et sport se placent aux quatrième et cinquième rangs du marché numérique, mais se retrouvent dans la seconde moitié du classement du marché «classique» (aux 12e et 13e positions).

Le secteur Produits tabagiques est relégué au bas du classement pour les deux marchés, occupant la dernière place sur le marché «classique» et l’avant-dernière sur le marché numérique. Le secteur Nettoyage se situe au bas de l’échelle, occupant la 16e place sur le marché «classique».Le secteur de l’Énergie, quant à lui, est avant-dernier sur le marché «classique», et grimpe d’une place sur le marché numérique.

Les secteurs Pharmacie et santé, Cosmétiques et soins corporels et Télécommunications se situent en milieu de classement pour les deux marchés.

Classement sectoriel

Classement sectoriel en juillet.

Les meilleurs produits numériques

Les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en juillet.

Dans le domaine Display, la campagne «#WIRSINDZUKUNFT» prend la tête du classement, tandis que sur YouTube, c’est l’«application mobile TikTok» qui domine. «Temu.com» se place en deuxième position dans ces deux domaines. La plateforme commerciale chinoise parvient à se maintenir dans le top 3 de Display et de YouTube depuis le mois de mai. Dans le domaine Search, «booking.com» occupe la première place, suivi de «sunrise.ch».

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Mix de médias pour le mois de juillet.

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Résumé de l’année 2023 Tendance du marché de juin 2024

Points forts de juin 2024

Le marché publicitaire «classique» termine le mois de juin avec 315 millions de francs de pression publicitaire brute, enregistrant ainsi, pour la troisième fois cette année, un léger recul (-2,8%). Au total, le marché publicitaire suisse évolue au 1er semestre 2024 avec 1,9 milliard de francs bruts, à peu près au niveau de l’année précédente (+0,2%).

À l’exception de Print (-5,8%), tous les groupes de médias sont en hausse, à commencer par le cinéma (+14,6%), l’Out-of-Home (+6,3%) (depuis la clôture des résultats du semestre, incluant à nouveau les Livesystems pour 2023 et 2024), la radio (+4,2%) et la télévision (+1,3%). Celle-ci a pu profiter, en juin, de l’Euro de football (juin: +7,1%). Toutefois, ces hausses ne permettent pas d’enrayer le recul de juin (-2,8%), qui s’explique principalement par la baisse de 12% enregistrée pour les médias imprimés et par l’Out-of-Home, qui est pour la première fois de l’année en recul (-2,7%). Alors que le cinéma (0,5%) est stable par rapport à l’année précédente, la radio (+2,9%) et la télévision (+7,1%) connaissent une hausse.

Par rapport au mois précédent, on observe clairement l’amorce du creux estival (-10,5%). La pression publicitaire du deuxième trimestre est néanmoins plus élevée (1,014 milliard) que celle du premier trimestre (885,5 millions de francs bruts).

Dans le domaine des médias numériques, tous les genres enregistrent une évolution positive. Alors que Display et YouTube n’augmentent que de 6% et 12%, la publicité sur les moteurs de recherche progresse de 51% (plus de mots-clés).

À partir de 2024, nous présenterons séparément le marché publicitaire «classique» et les canaux numériques (Search, YouTube, Display) afin de garantir une meilleure comparabilité avec l’année précédente. La volatilité de la saisie dans le domaine en ligne, due à des influences externes telles que des adaptations de la part de Google, peut entraîner des fluctuations importantes au cours de l’année. Dans le domaine Search en particulier, de nombreuses adaptations et modifications ont été apportées par Google au cours du dernier semestre, ce qui rend difficile la comparaison des dépenses publicitaires brutes avec l’année précédente.

Pression publicitaire sur le marché global

Évolution de la pression publicitaire au mois de juin 2024 en millions de francs bruts.

Les secteurs en baisse sont en faible majorité

Un peu plus de la moitié des secteurs enregistrent une baisse pour le mois de juin par rapport à l’année précédente. C’est dans le secteur des Médias que le recul en pourcentage est le plus important, avec -39,3%. Suivent les Transports en commun (-27,3%) et les Initiatives et campagnes (-22,9%). Le secteur Construction, industrie et ameublement (-4,4%) enregistre le recul le plus faible, suivi du secteur Produits alimentaires avec une baisse de -5,5%.

Une hausse dans 10 secteurs

En juin, dix secteurs enregistrent une croissance positive par rapport à l’année précédente. Le secteur Énergie, avec une faible pression publicitaire, affiche la plus forte progression avec 129,8%. Suivent loin derrière les Cosmétiques et soins corporels (+45,3%) ainsi que le secteur Loisirs, gastronomie et tourisme (+27,8%). Les secteurs Numérique et ménage (+1,6%), Automobile (+3,6%) et Boissons (+8,3%) montrent une légère hausse, tandis que le secteur Pharmacie et santé se maintient au niveau de l’année précédente.

Classement sectoriel

Classement sectoriel en juin.

Les meilleurs annonceurs et produits

Les meilleurs annonceurs et les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en juin.

Mix de médias

Mix de médias pour le mois de juin.


Pression publicitaire sur le marché numérique

Évolution de la pression publicitaire au mois de juin 2024 en millions de francs bruts.

Classement sectoriel : comparaison entre les canaux classiques et les canaux numériques

Sur le marché «classique», le secteur Produits alimentaires occupe la première place, alors qu’il se trouve en onzième position sur le marché numérique. Le Commerce de détail, quant à lui, est premier sur le marché numérique et deuxième sur le marché «classique», indiquant une forte présence sur les deux marchés. Le secteur Loisirs, gastronomie et tourisme se classe troisième sur le marché numérique et quatrième sur le marché «classique». Le secteur Construction, industrie et ameublement est troisième sur le marché «classique» et sixième sur le marché numérique.

Le secteur Produits tabagiques est en bas du classement pour les deux marchés, occupant la dernière place sur le marché «classique» et l’avant-dernière sur le marché numérique. Le secteur Nettoyage se trouve également en bas du classement. Le secteur Énergie est quant à lui à l’avant-dernière place sur le marché «classique» et à la 19e place sur le marché numérique.

Les secteurs Numérique et ménage, Télécommunications et Pharmacie et santé se situent en milieu de classement pour les deux marchés.

Classement sectoriel

Classement sectoriel en juin.

Les meilleurs produits numériques

Les produits et services les plus promus (hors promotion d’assortiment et d’image et hors catégories) en juin.

Dans le domaine Display, le «sponsoring UBS» et les «tickets Euromillions de Swisslos» dominent. Ces produits ne sont pas présents dans le top 10 des deux autres canaux. Sur YouTube, ce sont l’«application mobile TikTok» et l’«Audi Q6 e-tron SUV électrique» qui prennent la tête. Ils ne figurent pas non plus dans le top 10 des autres canaux. Pour Search, «hostpoint.ch» et «sunrise.ch» se distinguent. Comme pour Display et YouTube, ces produits ne se retrouvent pas dans le top 10 des autres canaux.

Seul «TEMU.com» figure dans deux canaux, se classant troisième pour Display et pour YouTube.

Mix de médias

Mix de médias pour le mois de juin.

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Résumé de l’année 2023 Tendance du marché de mai 2024

Points forts de mai 2024

Le marché publicitaire « classique » se maintient depuis mars au niveau des 350 millions. Par rapport au mois d’avril, le marché publicitaire suisse réaugmente de 1,4 % pour atteindre 352 millions de francs en valeur brute. Sur les cinq premiers mois de l’année, la pression publicitaire s’élève à 1589 millions. En comparaison avec l’année précédente, le marché publicitaire de mai affiche toutefois un léger recul (-2,4 %), tandis que les chiffres cumulés depuis le début de l’année affichent une légère augmentation de 2,4 %.

Cette hausse provient essentiellement de la composante Out-of-Home (publicité extérieure) du mix média. Remarque : pour le moment, les données du fournisseur Livesystems sont disponibles uniquement pour l’année 2024 (réintégration de l’exercice 2023 prévue avec les données de juin). Hors données Livesystems, le marché publicitaire recule de 4,2 % en mai, mais gagne 0,1 % sur l’année entière. 

À l’exception de la catégorie Out-of-Home, toutes les catégories de médias classiques ont vu leur chiffre d’affaires brut diminuer. Comme en avril, le cinéma enregistre la plus forte baisse (-22 %), suivi de près par la presse écrite, en retrait de 11 %. Du côté de la radio (-4 %) et de la télévision (-2 %), le recul par rapport à l’année précédente est moindre et limité à un chiffre.

En mai, toutes les catégories de média ont connu des pertes en comparaison avec 2023. La plus forte baisse en pourcentage concerne le cinéma (-22,4 %), suivi de la presse écrite (-11 %), de la radio (-3,7 %) et de la télévision (-2,5 %). La catégorie Out-of-Home est la seule à progresser (+11 %). Sans les données Livesystems, l’augmentation atteint seulement 3,3 %.

Dans le mix média numérique, la publicité sur les moteurs de recherche (Search) progresse de 5 % et se taille la part du lion, avec 70 % du secteur de la publicité numérique.  La publicité display est en deuxième position avec une part de 23 %, en légère baisse par rapport à l’année précédente (-4 %). YouTube progresse de 9 % et se classe au troisième rang.

À partir de 2024, nous présenterons séparément le marché publicitaire classique et les canaux numériques (Search, YouTube, Display) afin de garantir une meilleure comparabilité avec l’année précédente. La volatilité de la saisie dans le domaine en ligne, due à des influences externes telles que des adaptations de la part de Google, peut entraîner des fluctuations plus importantes au cours de l’année. Dans le domaine Search en particulier, de nombreuses adaptations et modifications ont été apportées par Google au cours du dernier semestre, ce qui rend difficile la comparaison des dépenses publicitaires brutes avec l’année précédente.

Pression publicitaire sur l’ensemble du marché

Évolution de la pression publicitaire à fin mai 2024 en millions de francs bruts.

Faible progression des secteurs

Alors qu’en avril, 13 secteurs affichaient une hausse, on ne dénombre plus que 8 secteurs sur 21 en progression par rapport à l’année précédente au mois de mai. Les secteurs Nettoyage (+73,8 %) et Cosmétiques et soins corporels (+60,5 %) affichent les plus fortes augmentations. Viennent ensuite les secteurs Construction, industrie et équipements (+14,9 %), Boissons (+10,9 %) et Loisirs, gastronomie et tourisme (+10,1 %). Dans les trois autres secteurs, la progression est moindre et reste à un seul chiffre.

Un recul dans 13 secteurs

En tout, 13 secteurs ont enregistré une évolution négative par rapport à l’année précédente. Les plus fortes baisses concernent les Produits de tabac (-25,4 %) et Initiatives et campagnes (-24 %). Dans les 11 autres secteurs, l’évolution à la baisse se situe entre -2,6 % (Énergie) et -17,5 % (Commerce de détail et Médias).

Classement des secteurs

Classement des secteurs en mai.

Top des annonceurs et produits

Les principaux annonceurs, et les produits et services les plus promus en mai (hors publicité d’image, d’assortiment et catégories collectives).

Mix média

Mix média du mois de mai.


Pression publicitaire sur le marché numérique

Évolution de la pression publicitaire à fin mai 2024 en millions de francs bruts.

Classement des secteurs : comparaison des canaux classiques et numériques

En avril comme en mai, le secteur Commerce de détail est en bonne position sur le marché « classique » et sur le marché numérique. En effet, il occupe la deuxième place sur le marché publicitaire « classique » et sur le marché numérique. En chiffre cumulé depuis le début de l’année, il se classe même en tête du marché numérique. Viennent ensuite les secteurs Finance et Loisirs, gastronomie et tourisme, aux deuxième et troisième rangs du marché numérique. Ces deux secteurs sont en bonne position également sur le marché « classique » (à la sixième et quatrième place respectivement).

Sur le marché « classique », le secteur Produits alimentaires est en tête, tandis que le secteur Construction, industrie et équipements occupe le troisième rang en chiffre cumulé depuis le début de l’année. Ces deux secteurs ont reculé d’une place sur le marché numérique par rapport à avril et occupent respectivement le onzième et le sixième rang.

Le secteur Nettoyage est également plus développé sur le marché « classique », où il occupe la seizième place alors qu’il se classe bon dernier sur le marché de la publicité numérique.

Classement des secteurs

Classement des secteurs en mai.

Top des produits sur le marché numériques

Les produits et services les plus promus en mai (hors publicité d’image, d’assortiment et catégories collectives).

Dans la catégorie display, les produits des-paroles-aux-actes.ch et temu.com se classent aux deux premières places. Comme en avril, on trouve TikTok Mobile App au premier rang, et temu.com au deuxième rang de la catégorie YouTube. Dans la catégorie Search, sunrise.ch reste en tête, comme le mois précédent, suivi de zurich.ch.

Le géant chinois du e-commerce temu.com figure dans le top 10 dans les trois catégories de médias. Au deuxième rang de display et YouTube, temu.com est numéro huit pour Search.

Mix média

Mix média du mois de mai.

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Résumé de l’année 2023 Tendance du marché de avril 2024